Découverte :
Donnée indisponible.
Voies de synthèse :
La synthèse du Dihydromyrcénol part du cis-pinane, qui est pyrolysé pour donner un produit intermédiaire appelé le Citronellene. Pour obtenir le Dihydromyrcénol, le procédé peut prendre trois formes. La première est la mise en contact d'acide chlorhydrique avec le Citronellene, puis une hydrolyse. La deuxième est l'addition d'acide formique pour faire une saponification sur le Formate de Dihydromyrcenyl obtenu. La dernière est une hydrolyse acide directe, en présence d'acide sulfurique.
Précurseurs de synthèse :
Le Dihydromyrcénol sert d'intermédiaire à la synthèse du Tétrahydromyrcénol et de réactif dans la synthèse de l'Acétate de Dihydromyrcényle et d'autres esters de cet alcool.
Isoméries :
Le Dihydromyrcénol possède un carbone asymétrique. C'est néanmoins le mélange racémique des deux énantiomères qui est utilisé en parfumerie.
Le Citronellol et le Rosalava® sont des isomères de constitution du Dihydromyrcénol. Tous deux ont aussi une odeur florale-rosée, plus citronnée pour le Citronellol et plus affirmée pour le Rosalva®.
Présence dans la nature :
Le Dihydromyrcénol est très peu présent dans la nature. C'est donc dans la majorité des cas la version synthétique qui est utilisée en parfumerie.
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